Programmation scolaire de mars 2023 à Toulouse et en région

 

Films programmés à Toulouse et en région en séance scolaire pendant Cinélatino, 35èmes Rencontres de Toulouse :

 

FICTION

DOCUMENTAIRES

REPRISES

CLASSIQUE

Courts-métrages

Films projetés en présence d'invité.e.s - sous réserve de confirmation

FICTION

camila saldrá esta noche - à toulouse et en région


Inés Maria Barrionuevo [Argentina, 2021, 1h43min]

Lycée

Matières concernées : Espagnol - Histoire-géographie – ECM – Français

Axes thématiques : Représentation de soi et rapport à autrui - penser les futurs possibles - Espace privé et espace public - Diversité et inclusion

 

Camila, une adolescente de 17 ans, déménage à Buenos Aires avec sa mère et sa sœur pour se rapprocher de sa grand-mère malade. Elle quitte alors ses ami·es et son lycée d’origine pour intégrer un établissement privé et religieux. Dans ce milieu conservateur, elle essaye de se faire une place auprès de ses nouveaux camarades. Traversant les thématiques propres au passage à l’âge adulte - révolte générationnelle, refus du compromis, rejet des institutions, découvertes amoureuses - le personnage éponyme de Camila se fait alors l’écho des luttes féminines contemporaines en Argentine.

Avec beaucoup de fluidité et de sensibilité, Inés María Barrionuevo prend avec finesse le parti d’une adolescente qui s’émancipe. Grâce à l’interprétation saisissante de l’actrice principale, Nina Dziembrowski, la réalisatrice capte la conscience politique d’une nouvelle génération replaçant ainsi son récit dans des problématiques très actuelles comme l’avortement, les harcèlements, la corruption, les pressions paternalistes et celles de l’Église…

Du conflit mère-fille aux tourments des premiers émois sentimentaux, le récit se nourrit sans cesse des enjeux sociétaux de son époque dans un élan aussi enthousiasmant que subtil pour dresser le portrait d’une jeunesse argentine.

 

Accompagnements pédagogiques :

Los dÍas de la ballena


De Catalina Arroyave Restrepo [Colombie, 2019, 1h20, VOSTFR]

Film lycée - De la seconde à la terminale - FOCUS COLOMBIE

Matières concernées : Espagnol – Arts plastiques – Histoire Géographie - Français - Philosophie

Axes thématiques : Art et pouvoir - Identités et échanges - Le village, le quartier, la ville - Représentation de soi et rapport à autrui - La création et le rapport aux arts

 

Cristina et  Simón sont deux graffeurs qui peignent la ville où ils vivent : Medellín. Les murs sont les supports de textes parfois virulents de la part des bandes criminelles du coin. Ils décident de recouvrir de ces messages de dessins, non sans prendre de risque… Mais l’amour qui les unit ainsi que leur refuge auprès des artistes de La Selva (une vieille maison de quartier qu’ils utilisent comme forteresse) leur permettent d’échapper aux difficultés de la rue et aux tensions familiales.

On trouve dans ce film une ambiance mais aussi une véritable histoire qui mélange plusieurs thématiques pour nous montrer une jeunesse forte qui affronte la peur, les doutes et les difficultés de grandir. Couleurs, pérégrinations nocturnes et balades dans la ville  à vélo ne sont pas sans rappeler Los Hongos d’Oscar Ruiz Navia. Des acteurs non professionnels, qui trouvent dans l’art une forme de militantisme et une source d’évasion. Le désir d’ailleurs est latent, la violence toujours hors champ et la question de l’immigration abordée en toile de fond.

 

Accompagnements pédagogiques :

 

un varón - en région uniquement


De Fabián Hernández [Colombie, 2022, 1h22]

Collège & Lycée – à partir de la 3ème

Matières concernées : Espagnol – EMC – Français – Philosophie - Éducation à la vie affective et sexuelle

Axes thématiques : Représentation de soi et rapport à autrui -  Fictions et réalités – Le village, le quartier, la ville  - Espace privé et espace public - Diversité et inclusion

 

Carlos vit dans un foyer du centre de Bogotá, un refuge à l’abri duquel la vie se fait un peu moins violente qu’à l’extérieur. Le temps de Noël, Carlos rentre dans sa famille et se confronte à la rudesse des rues de son quartier, où règne la loi du plus fort. Il lui faudra alors choisir entre adopter les codes d’une masculinité agressive, des mâles “alpha” ou embrasser sa nature profonde et stopper le cycle de la violence.

Ce film aborde le passage délicat de l'adolescence et le thème de la construction du genre. Malgré des acteurs non professionnels et le tournage dans un quartier “chaud" (celui où a grandi le réalisateur), la caméra laisse hors-champ la violence et prend le temps de scruter les émotions de son protagoniste, mettant au centre du propos cette quête profonde d'identité qui est sans doute celle du cinéaste.
Ce dernier met en scène les masculinités toxiques à l'œuvre dans ce microcosme et questionne ce que c’est d’être un “homme”. Pour survivre dans cette jungle et quitter les habits de l’enfance, doit-on pour autant dire adieu à sa fragilité et sa sensibilité ?

 

Accompagnements pédagogiques :

 

DOCUMENTAIRES

soy niño - à toulouse et en région


De Lorena Zilleruelo [Chili, France, 2021, 1h]

De la 4ème à la Terminale

Matières concernées : Espagnol - EMC - option cinéma - Éducation à la vie affective et sexuelle

Axes thématiques : représentation de soi et le rapport à autrui - identités et échanges - transidentité - relations intrafamiliales - genre et société

 

À 12 ans, Andrea décide de devenir David. Son corps, masculin, s’affirme, sous l’effet de la testostérone. C’est un adolescent doux et heureux, en proie aux questionnements de son âge mais aussi à ceux qu’implique sa nouvelle identité. Le Chili, en période de renouvellement politique, doit prochainement voter une loi pour l’autodétermination de genre. Durant ce temps de cristallisation et de clivages socio-politiques, la réalisatrice tisse le portrait intime de son cousin.

Lorena Zilleruelo a pris le parti de filmer le processus de transformation de David sur un temps long : des images archives de films familiaux avec les brèves apparitions d’Andrea petite à la sortie du lycée de David. Soy Niño nous propose immédiatement un panel de regards sur cette transformation, ceux de ses parents, de son oncle et bien sûr celui de la réalisatrice dans un contexte familial où l’accompagnement est attentif et chaleureux.

Le film a aussi le mérite de montrer les défis qu’impliquent ce changement, en termes esthétiques mais aussi - par exemple - financiers. La métamorphose adolescente passe aussi par l’évolution de David dans ses relations avec ses ami·es, dans sa scolarité et ses études, dans ses rencontres amoureuses et enfin dans ses engagements politiques, en relation avec les choix personnels qu’il accomplit.
Alors que la question trans fait l’objet d’une profonde méconnaissance en France, ce joli documentaire, plein de tendresse, est une belle ode à l’acceptation des autres… et de soi.

 

Accompagnements pédagogiques :

  ALIS - à toulouse et en région 


De Clare Weiskopf et Nicolás van Hemelryck
[Colombie, Chili, Roumanie, 2022, 1h24]

De la 3ème à la Terminale

Matières concernées : Espagnol – EMC – Français – Philosophie - Éducation à la vie affective et sexuelle

Axes thématiques : Représentation de soi et rapport à autrui -  Fictions et réalités – La création et le rapport aux arts

 

Par un acte créatif, des adolescentes donnent vie à une camarade imaginaire : Alis. Chacune des pensionnaires de l’internat la Arcadia vient s'asseoir face caméra pour parler de cette amie idéale avec laquelle elle aurait développé une complicité : la relation qu'elles ont entretenue, sa description physique, son parcours de vie, ses douleurs, ses projections sur l'avenir…
Au fur et à mesure des entretiens, la réalisatrice plonge plus profondément dans l'intimité et les blessures de ces adolescentes, les intermèdes les filment de plus en plus proche dans leurs espaces et leur corporéité. De “elle” à “je”, Alis sert de miroir à ces jeunes filles pour se (re)construire et se libérer par l’imagination et l’identification.

Alis est un film issu d’un atelier de pratique documentaire de plusieurs années avec des filles ayant vécu dans les rues de Bogotá. Reflet des réalités sociales colombiennes, le film est surtout un véritable creuset des tourments et des aspirations de l'adolescence, même si, ici, le film sert d’exutoire à des vies particulièrement balafrées.
L’âpreté de certains récits est adoucie par une photographie au plus proche de leur lieu de vie et une relation de confiance qu’instaure la réalisatrice, véritable personnage du film, dans le dialogue avec ces filles.

La matière sonore et corporelle permet de développer un travail riche sur la langue pour décrire les sensations et les sentiments. À certains moments, les filles choisissent de se dire en chantant ou en rappant. L'éducation à la vie affective et sexuelle et à l'égalité fille-garçon trouveront aussi un véritable gisement d'observation et de réflexion autour de ce que peuvent exprimer la gestuelle et les postures des corps.

La qualité empathique du dispositif filmique et la douceur de cette institution, qui émerge à la fois des scènes de vie quotidienne et de la parole des adolescentes, donnent une tonalité rebondissante à cette parole empreinte de traumatismes : l'imagination encourage le dépassement.

 

Accompagnements pédagogiques :

REPRISES

mon pays imaginaire - à toulouse uniquement


Patricio Guzmán [Chili, 2022, 1h23]

À partir de la Seconde

Matières concernées : Espagnol – EMC – Philosophie– Histoire-géographie

Axes thématiques : Le village, le quartier, la ville - Le passé dans le présent - Espace privé et espace public - Art et pouvoir - Citoyenneté et mondes virtuels - Territoire et mémoire

 

Octobre 2019, une révolution inattendue, une explosion sociale démarre à Santiago du Chili. Tout part de l’augmentation du ticket de métro. Un million et demi de personnes sortent dans les rues pour plus de démocratie,  une meilleure éducation, un meilleur système de santé et une nouvelle constitution. Patricio Guzmán se fait aussitôt le témoin de la protestation dans un film porteur d’espoir et qui parle de dignité humaine : « vivir y no sobrevirir ».

Le film démarre avec un gros plan sur les pavés de Santiago. 50 ans après La bataille du Chili, Patricio Guzmán se fait chroniqueur d’un Chili de nouveau en feu : « si tu veux filmer l’incendie, il faut être à l’endroit où surgit la première flamme ». Aux images de ces manifestations  - sans chef, ni idéologie - se superposent des images d’archive des « protestas » sous Pinochet. Après sa dernière trilogie, le cinéaste réinvestit la thématique de la mémoire pour panser le passé et penser le présent.

Toujours accompagné par une magnifique direction de la photographie, Patricio Guzmán filme une ambiance mais documente aussi les témoignages des gens indignés qui, malgré les violences policières, donnent un nouvel élan au pays. Sa voix off habituelle se fait moins présente pour donner la parole aux femmes d’aujourd’hui, qui s’expriment face caméra. Elles sont le symbole de la diversité d’un pays résolu à se débarrasser de l’héritage de la dictature pour garantir un avenir féministe, écologiste, social et égalitaire : un pays imaginaire.

 

Accompagnements pédagogiques :

utama - à toulouse uniquement


Alejandro Loayza Grisi [Bolivie, Uruguay, 2022, 1h28]

De la 4ème à la terminale

Matières concernées : Espagnol – EMC – Histoire Géographie - Français

Axes thématiques : Vivre entre générations - Identités et échanges - Diversité et inclusion - Territoire et mémoire

 

Dans l’immensité des hauts plateaux de l’altiplano bolivien, un couple de vieux Quechuas, Virginio et Sisa, veillent sur leur troupeau de lamas. Face à leur âge avancé et la sécheresse, Clever, leur petit-fils de 19 ans, vient les convaincre de quitter la région pour s’installer en ville avec le reste de la famille. Malgré une santé de plus en plus fragile, Virginio refuse de quitter sa terre et décide de cacher sa maladie…

Premier long métrage de Alejandro Loayza Grisi, Utama est un film sensible qui examine le lien de l’homme à son environnement. Une photographie et des paysages magnifiques nous immergent dans la culture rurale et indigène à la frontière entre la Bolivie et l’Uruguay. En traitant tout en douceur des thématiques comme l’écologie, la fin de vie et la transmission, le film dépeint une vie âpre, héritée des traditions tout en interrogeant sur le sentiment d’appartenance à un territoire et la question de l’héritage dans un monde qui change…

Prix lycéen, Cinélatino 2022

Accompagnements pédagogiques :

Virus Tropical


De Paola GAVIRIA et Santiago CAICEDO [Colombie, 2016, 1h36, VOSTFR]

Film lycée - De la seconde à la terminale - FOCUS COLOMBIE

Matières concernées : Espagnol – Arts plastiques – Histoire Géographie - Français

Axes thématiques : Vivre entre générations - Identités et échanges - Diversité et inclusion - Territoire et mémoire - Le village, le quartier, la ville - Représentation de soi et rapport à autrui - La création et le rapport aux arts

Virus tropical, reprend les décors et les graphismes de la bande dessinée éponyme écrite par l’artiste colombienne Powerpaola et nous raconte l’histoire de Patty, de sa naissance à ses 18 ans. Tel un virus, la jeune fille apparaît dans le ventre de sa mère et grandit au sein d’un cocon familial “harmonieusement désordonné”. À travers les aléas d’une classe moyenne latino-américaine, on suit la construction identitaire d’une enfant qui devient adolescente puis jeune adulte. De l’Equateur à la Colombie, le personnage tâtonne et fait son chemin : les déménagements à répétition et les nouvelles écoles ; les liens familiaux, amoureux, amicaux qui se font, qui se défont puis se reconstruisent ; l’exploration de la sexualité ; la religion, le travail et l’argent.

La diversité des thèmes est impressionnante et la forme autobiographique choisie souligne habilement l’importance des petits riens du quotidien dans ce que l’on devient. Virus tropical nous offre une perspective simple, belle et rafraîchissante sur les conflits et les drames domestiques. Le tout est traité sur fond de féminisme ordinaire : Patty va à l’encontre des stéréotypes, déjoue les lieux communs, et c’est avec un naturel déroutant qu’elle fait ses propres choix, indépendamment des canons imposés par la société.

 

Accompagnements pédagogiques :

CLASSIQUE

  mon ami machuca - à toulouse uniquement


Andrés Wood [Chili, 2005, 1h56]

De la 4ème à la Terminale

Matières concernées : Espagnol – EMC – Histoire-géographie - Philosophie

Axes thématiques : Penser les futurs possibles - Espace privé et espace public -  Le passé dans le présent – Citoyenneté -  Territoire et mémoire

« Chili, 1973. La rencontre de deux enfants que tout oppose : Gonzalo, issu d'une famille aisée, réside dans les beaux quartiers ; Pedro, fils de paysans, survit dans un bidonville. Dans une ambiance turbulente naît une amitié profonde. Ensemble, ils seront témoins du coup d'état qui signera la fin de l'époque d'Allende... »

« C’est en puisant dans ses souvenirs, alors qu’il fréquentait le collège Saint George de Santiago où le père Gerardo Whelan œuvrait pour la mixité ethnique et sociale des classes en accueillant des élèves défavorisés, qu’Andrés Wood a imaginé ce récit. Il décide alors de raconter la fin de la démocratie au Chili du point de vue des enfants et de montrer deux mondes que tout oppose : le quartier bourgeois de Santiago et le bidonville. L’amitié entre Gonzalo et Pedro représente en quelque sorte le fruit de la société idéaliste que le président Salvador Allende et son gouvernement ont voulu instaurer au Chili. Très accessible et attachant, Machuca permettra d’évoquer des faits historiques mais également l’école comme lieu de mixité sociale et la politique comme moyen de changer la vie des gens ».

Source : Festival international du film d'Histoire de Pessac

 

Accompagnements pédagogiques :

COURTS-MÉTRAGES

Petites histoires d'Amérique latine - Volume 4 - à toulouse et en région


Niveau 6ème, 5ème

Matières concernées : espagnol, histoire-géographie, EMC, français, arts plastiques

 

Petites Histoires d’Amérique Latine 4, ce sont quatre courts-métrages pour poursuivre l’exploration du continent.
De las Sierras Chicas en Argentine aux rues de São Paulo en passant par les mangroves colombiennes et la forêt amazonienne,  Quatre histoires personnelles pour découvrir une faune, une flore et des cultures.

À travers le documentaire, le cinéma d’animation et le graff, les arts se mêlent et s’entremêlent au son de la bossa nova brésilienne pour réfléchir ensemble aux luttes sociales et environnementales dans un monde à l’urbanisation croissante…

Téléchargez ici le dossier pédagogique des Petites histoire d'Amérique Latine - Volume 4 !


DULCE

 

de Guille Isa et Angello Faccini (Colombie, 2018, 11’, VOSTFR)

Dans un village colombien, là où la vie est rythmée par les flots et où les premiers effets de la crise climatique menacent, une mère presse sa fille de 5 ans d’apprendre à nager.

 

 


Graffiti DANçA

 

de Rodrigo Eba! (Brésil, 2013, 6’, sans parole)

Et si les murs de la ville se mettaient à danser ? Laissez-vous embarquer dans cette rêverie urbaine.
Une prouesse de réalisation en graffs animés.

 

 

 

Lea Salvaje

 

de María Teresa Salcedo Montero (Colombie, 2020, 9’13, VOSTFR)

Solitaire et sauvage, le chat Léa découvre les bienfaits de l’entraide et de la vie en communauté au détour d’une rencontre inattendue avec une poupée, Ciro, dont le but est de redonner une vie et une dignité aux objets abandonnés par les humains.

 

 

 

BOSQUECITO

 

de Paulina Muratore (Argentine, 2020, 8’16, sans parole)

Mizu, une petite fille, découvre un bourgeon dans la forêt. Dès lors, chacune de ses promenades sera l’occasion de veiller sur lui. Les années passent et ils grandissent ensemble dans un monde fragile et menacé.

 

 

Les collégiens programment

Ce projet propose à deux classes de 4e et 5e des collèges Jean Moulin et Vauquelin de devenir programmateurs pour Cinélatino. En amont du festival, plusieurs interventions sont consacrées à visionner des courts-métrages et en parler. Avec l’aide des intervenantes cinéma Marie Descharles et Pauline Lebellenger, l’idée est d’apprendre à mieux lire les images, à construire un point de vue et à exprimer des émotions à leur égard.

Comme dans un comité de programmation, les élèves doivent ensuite se mettre d’accord collectivement pour faire leur sélection et élaborer leur programme de courts-métrages. Enfin, pendant le festival, à la Cinémathèque de Toulouse, leur programmation sera présentée en public le vendredi 31 mars 2023. Les élèves présentent la séance et animent les échanges avec le public. Nous invitons donc d’autres établissements scolaires à participer à cette séance gratuite.

Les détails de leur programmation


La programmation du Collège Vauquelin aura lieu à la Cinémathèque, le mardi 28 mars à 9h30.

Voici leur sélection :

La programmation du Collège Jean Moulin aura lieu à la Cinémathèque, le vendredi 31 mars à 9h30.

Voici leur sélection :

   

Projet mis en œuvre dans le cadre du Parcours Laïque et Citoyen avec le soutien du Conseil Départemental