Berta soy yo

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Note d'intention

Le 1er mars 2016, j’ai rencontré Berta pour planifier un autre voyage de tournage sur la rivière Gualcarque. Le lendemain, elle a été assassinée. J’ai toujours le cahier où j’ai noté les intérêts qui conspiraient contre elle. Mon collègue Milton Benítez avait rejoint cette réunion afin de l’inviter dans son programme télévisé. J’ai le privilège d’avoir bien pu la connaître, nos grands-mères sont cousines, mais ce ne sont pas les liens familiaux qui me lient à elle ; c’est la lutte contre le projet consolidé après le coup d’État de 2009, qui est de vendre Honduras à n’importe quel prix.

Synopsis

Dans le pays le plus dangereux du monde pour les défenseurs de l’environnement, Milton Benítez, le journaliste tenace hondurien, suit la piste des indices qu’il a notés lors de sa rencontre avec Berta le jour avant son assassinat. Aidé par Almudena Bernabeu, la célèbre avocate internationale, il remet le puzzle en place. Ce qu’ils trouvent, c’est un complot impliquant des sociétés et des fonctionnaires, qui marque un schéma mortel. Le film réunit les morceaux de fichiers non édités, des témoins sans méfiance et une enquête sur les contrats louches que Berta avait dénoncés

Concept visuel

Le premier acte se termine par l’assassinat de Berta, puis nous suivons le journaliste Milton Benítez pour découvrir ce qui a tué une femme dont le destin connu est la mort. En tant que film de fiction, Milton agit guidé par ce que son amie a dénoncé, prenant des risques en faisant des recherches, qui révèle les indices, le suspense à travers les menaces de mort dirigées contre Milton, Gustavo et Víctor Fernández. Le film a accès aux affichages de l’OEA et à Almudena Bernabeu, et l’histoire se complexifie pour obtenir la «vérité» à travers des informations privilégiées qui répondent de ce qui a tué Berta.