Un paysage érodé, des terres arides balayées par le vent sous une lumière implacable et brutale : c’est Araya, là où des hommes et des bêtes s’accrochent au sol pour survivre. Le tableau d’un quotidien qui dure depuis 450 ans, des gestes qui se répètent et se chargent d’une résonance insolite. Le Prix de la Critique obtenu à Cannes en 1959 offrit une reconnaissance internationale au cinéma vénézuélien. Margot Benacerraf est également à l’origine de la fondation en 1966 de la Cinémathèque nationale du Venezuela.

Réalisation
Margot Benacerraf
Pays de production
Venezuela, France
Année de production
1959
Durée
1h19
Récompenses

Prix de la Critique Cannes 1959

Société de distribution
Les Films du Paradoxe