Annulation du festival Cinélatino, 32es Rencontres de Toulouse
Cher·es festivalier·ères, ami·e·s et partenaires du festival,
Contrairement au communiqué que nous venions de vous envoyer concernant l'adaptation et le maintien du festival Cinélatino, et suite à l'annonce du Premier Ministre Edouard Philippe ce vendredi 13 mars annonçant l'interdiction de rassemblements de plus de 100 personnes, il nous est devenu impossible de préserver la qualité du festival.
Nous prenons donc la difficile décision d'annuler la 32e édition du festival Cinélatino.
Nous remercions sincèrement toutes les personnes qui ont œuvré à l'élaboration de cette édition, partenaires, bénévoles, équipe, nos invité·es, ainsi bien évidemment que tout notre public.
Nous continuerons avec la même ardeur qui nous anime depuis 32 ans, dès que la situation le permettra, de faire vivre et connaître les cinématographies latino-américaines, et nous vous invitons à suivre nos prochaines actualités via notre site www.cinelatino.fr et nos réseaux sociaux.
- HORS-CHAMP(S)
- FLORES QUE NO SE CALLAN / DES FLEURS QUI REFUSENT DE SE TAIRE
- 1492, ANACAONA L'INSURGÉE DES CARAÏBES
- ANCESTROS DE LA SELVA
- GUAYABO PARTAGE : CAMILO SIERRA / FELIPE VARGAS
HORS-CHAMP(S)
Exposition de photographies DU COLLECTIF WARLD CUP
Du 16/03 au 31/03 à l'ABC | Vernissage le jeudi 19 mars à 18h30
Le Projet « Hors-Champ(s), d'autres regards sur la coupe du Monde au Brésil » est un projet de photographie documentaire ayant pour volonté de montrer l'autre côté, les autres côtés, de la dernière Coupe du Monde Fifa Brazil 2014. Autour de ce projet, 30 photographes de nationalités différentes se sont réunis dans un désir commun : essayer de dévoiler ce qui est resté caché derrière la folie du "football business".
En partenariat avec l’association Locombia.
FLORES QUE NO SE CALLAN / DES FLEURS QUI REFUSENT DE SE TAIRE
Exposition DE L'ARTISTE GEORGINA CALZADA
Du 17/03 au 30/04 à l'Instituto Cervantes du lundi au vendredi de 14h30 à 18h30
Vernissage le mardi 17 mars à 18h30, en présence de Françoise Escarpit, présidente de l’association Puceart (Bordeaux)
Ce projet nous présente la situation vécue par de nombreuses femmes mexicaines en ce moment. « Des fleurs qui refusent de se taire » représentent toutes celles qui sont mortes victimes de féminicides depuis plus de 29 ans. L’exposition embrasse la lutte et la transformation de la femme dans sa recherche pour atteindre l’égalité des genres. Elle nous parle de violence et de transgression des droits. Et elle le compare à l’existence d’une société qui réussirait à protéger sa population féminine dans laquelle des femmes de plusieurs origines vivent en harmonie, où elles échangent des connaissances et s’autonomisent.
1492, ANACAONA L'INSURGÉE DES CARAÏBES
Exposition de l’ILLUSTRATRICE CLAUDIA AMARAL
Du 20/02 au 27/03 à Terra Nova | Dévernissage et rencontre-dédicace avec l'éditrice, Paula Anacaona, et Claudia Amaral le jeudi 26 mars à 19h.
En 1492, Anacaona règne sur l'un des royaumes d'Haïti. Le peuple taïno qu'elle dirige accueille les Espagnols mais les arrivants mettent en place leur projet colonisateur. Moins d'un siècle après la rencontre, les Taïnos ont totalement disparu. Cette histoire est relatée par la voix des colonisés : leur tentative d'adaptation, leur désespoir et leur résistance.
ANCESTROS DE LA SELVA
Exposition dU PEINTRE JEiSSON CASTILLO
Du 24 au 29 mars à l'Eurêkafé | Vernissage et conférence avec l'artiste : 24 mars | 16h - 18h | 6€ avec boisson inclue
Inspirées par la recherche, le voyage et l'apprentissage, les peintures de Jeisson Castillo mélangent matériaux et matières (huile, plantes, bois, toile, terre…) lui permettant de lier ses oeuvres à l'esprit particulier des personnes, entités, plantes et territoires qu'il dépeint.
GUAYABO PARTAGE : CAMILO SIERRA / FELIPE VARGAS
EXPOSITION DEs artistes Felipe Vargas et Camilo Sierra
Du 20 au 29 mars à l'Espace Diversités Laïcité | Vernissage : 23 mars à 19h
Une série d’images où la mythologie latino-américaine rencontre l’Occitanie… Un territoire cohérent entre écologie et superstition. Des portraits abstraits du conflit colombien entre libéraux et conservateurs, fragments de villes, où parfois le rouge consume le bleu ou le bleu dévore le rouge, sans plus de visions d’une société privée d'une autre gamme de couleur.