Centre culturel Alban-Minville
1, place Martin Luther King
à deux pas du M° bellefontaine
Du lundi 7 mars au jeudi 31 mars 2011
Centre culturel Alban-Minville
« Titre de séjour » - (Peinture)
Exposition de Wolkind Rodriguez
Vernissage le mardi 15 mars 2011 à 19h
(en présence de Moonlight)
Nous vous proposons des visites commentées gratuites pour les classes ou groupes constitués sur réservation au 05 61 43 60 20
Né le 4 octobre 1978, il étudie à l’école des Beaux Arts de Saint-Domingue, puis à l’Escuela de Diseño de Altos de Chavon. Dès le milieu des années 90, il participe au mouvement « Calle Arte » (art de la rue), mouvement composé d’étudiants et d’artistes qui occupèrent les places publiques dans le but de les transformer en « bureaux » de l’art
En 2007, il présente son travail à Paris, lors d’une exposition d’un collectif de peintres dominicains et collabore depuis avec la Galerie Intemporel (Paris). Il expose en 2008 à New York dans le cadre du « Black Fine Art Show ».
Nous l’accueillons aujourd’hui avec ses nouvelles créations. A voir Absolument !
Visitez son site Contactez l'artiste
ESAV
56 rue du taur
31 000 Toulouse
Du 15 au 30 mars de 10h à 18h TLJ sauf dimanche
"ADIKETSUYA: BONNE AMAZONIE POUR TOUS"
Plus qu'un projet, un « coup de coeur »
S'étant rencontrés sur une mission organisée par le projet RFI Planète Radio en Amazonie vénézuelienne, Frank Alix, le photographe et Eduardo Olivares, journaliste chilien et homme de radio et d'échanges franco-latinoaméricains, ont découvert ensemble un paysage humain et naturel bouleversant.
Tandis qu'Eduardo participait à la préparation du lancement de Radio Adikeysuya (« Bon son pour tous » en langue indigène), radio communautaire pour des populations indigènes de l'Amazonie vénézuelienne, Frank tient un « journal de bord » photographique qu'ils revoient et commentent tout au long de vingt jours passées à l'Escuela Comunidad y Trabajo, proche de Puerto Ayacucho, sur les bords de l'Orénoque. L'idée de l'expo naît de l'envie de partager par les images et les récits, les expériences vécues, les êtres rencontrés et les paysages où ils vivent en essayant de concilier modernité et tradition, identité et d'intégration.
Bien entendu, il s'agit aussi de raconter en même temps le sens profond et les défis d'un projet né de la volonté des communautés indigènes de se doter d'un outil d'expression et de professionnalisation aux métier de la radio.
Projet conçu par RFI avec le soutien de l'Union Européenne.
Visitez le site de l'artiste Contactez l'artiste en partenariat avec
Instituto cervantes
31 Rue des Chalets
31000 Toulouse
Du 16 mars au 22 avril
du lundi au vendredi de 9h à 12h30 et de 14h30 à 18h
“El Viaje Imposible. En México con Roberto Bolaño”
Fotografías de Siqui Sánchez
Exposition de photographies
Vernissage le mardi 15 mars à 18h30 en présence du photographe
“El paisaje de México es una parte fundamental en las novelas de Roberto Bolaño. (…) Para el escritor el paisaje es un componente emocional más, que va indisolublemente ligado a la peripecia vital de sus protagonistas. Con este trabajo he pretendido ser fiel a las emociones que emanan de la lectura de Los Detectives Salvajes, o 2666, más que a los lugares en sí mismos. La fotografía trabaja con el mundo visible pero se enfrenta al reto de reflejar lo intangible: sensaciones, búsquedas, ausencias.”
« Le paysage du Mexique est fondamental dans l’œuvre de Roberto Bolaño (…) Pour l’écrivain, le paysage est un élément émotionnel supplémentaire qui est lié de façon indissociable aux aventures des protagonistes. Avec ce travail j’ai essayé de rester fidèle aux émotions suscitées par la lecture de Los Detectivos salvajes ou 2666 plutôt qu’aux lieux eux-mêmes. La photographie est le reflet du monde visible certes mais elle tente aussi de relever le défi de représenter l’intangible : les sensations, les recherches, les absences. »
CROUS
58, rue du Taur
31 000 Toulouse
du 7 au 31 mars - vernissage le lundi 14 mars à 18h
viva la danza - Photos de Abigaïl Cuenca
Viva la danza, une exposition d'images sur la fête traditionnelle de San Mateo apôtre, qui a lieu chaque année pendant le mois de septembre à Veracruz (Mexique).
La traditionnelle danse des maures et des chretiens est une réprésentation qui a lieu chaque année dans le village de Naolinco, Veracruz, faisant partie de la célébration des fêtes de San Mateo, apôtre et saint patron des lieux.
Il s'agit d'une tradition qui date de l'époque coloniale. Les évangélisateur espagnols ont introduit cette tradition au Mexique pour raconter la façon dont l'Apôtre Saint Jacques fut à la tête de la lutte espagnole pendant huit siècles contre les maures..
Il faut remarquer que cette célébration est une fête patronale et en conséquence très différente des célébrations de la fête des morts qui a lieu à partir du 31 octobre dans tout le pays.
La représentation a lieu sous le portique de l'église de San Mateo, où les danseurs se battent avec des bouts de bois et font un simulacre de guerre entre les « santiagos » (chrétiens, blonds) dirigés par le Petit Cheval contre les « caines » (maures, bruns) dirigés par Poncio Pilatos. La représentation finit par la défaite de Pilatos aux mains de l'apôtre Saint Jacques.
ABC
13 Rue Saint-Bernard
31000 Toulouse
du 8 au 30 mars TLJ de 09h à 00h
“vivir en la tierra” - Andy Goldstein
Vernissage jeudi 17 mars à 18h en présence du photographe
“vivir en la tierra” prétend faire une compilation d’images des colonies d’Amérique Latine, avec le but de documenter l’histoire la plus intime, la plus pure, de ce signe d’exclusion présent jusqu’à aujourd’hui partout le continent.
Le projet développé par Andy Goldstein en collaboration avec Un techo para mi País, propose réaliser un parcours photographique des colonies installées au moins dans 13 pays de l’Amérique Latine. Le pays suggérés par UTPMP permettent obtenir un résumé significative des différentes réalités de notre continent : Argentine, Brésil, Bolivie, Chili, Colombie, Costa Rica, Équateur, El Salvador, Haití, Honduras, Guatemala, Mexique et Perou.
Le résultat de ce travail sera compilé dans un bouquin et montré au public à travers une exposition photographique itinérante que, à travers des photographies de grand format, dénonce les conditions de vie dans lesquelles se trouvent plus de 200 millions de familles dans le continent.
“Vivir en la tierra”
pretende recopilar imágenes de los asentamientos de Latinoamérica, con el objetivo de documentar la historia más íntima, más pura, de este signo de exclusión tan presente hoy en el continente.
El proyecto desarrollado por Andy Goldstein en conjunto con Un Techo para mi País, proponen realizar un registro fotográfico de los asentamientos de al menos 13 países de Latinoamérica. Los países sugeridos por UTPMP a modo de obtener un registro significativo de las diferentes realidades de nuestro continente son: Argentina, Brasil, Bolivia, Chile, Colombia, Costa Rica, Ecuador, El Salvador, Haití, Honduras, Guatemala, México y Perú.
El resultado de este trabajo se compilará en un libro y se exhibirá a través de una muestra fotográfica itinerante que, por medio de fotografías de gran formato, denuncie las condiciones de vida que en la que se encuentran más de 200 millones de familias en nuestro continente.
Et pendant toute la durée du festival, dans la cour de la cinémathèque
1- «Blimp»: Caisson insonore dans lequel on enferme la camera lors d’un enregistrement
synchrone afin que le micro ne capte pas les bruits mécaniques de l’appareil en fonctionnement.
Blimp est une installation de Romain Quartier, des films en format super 8 évolutive. 7 «super télé 8» diffusent
en boucle des petits films sur le thème du Mexique (images d'archives, films de vacances des années 60 etc...).
2- Stéphane Masson, plasticien, inventeur de machines à images adaptera ses Lampadaires vidéos, création pour la fête des lumières à Lyon, sous un éclairage nouveau lié à l'Amérique Latine.
3- Des mots à plusieures entrées, plusieurs sens, lisibles différemment en fonction du point de vue... C'es ce que nous proposent Matthieu Scheubel et Coline Parasse qui réalisent la décoration du village...
4- MURMURES MEXICAINS
Vidéo de Agnès Duroyaume, 2010, 16/9, stéréo
Au Mexique, la vie de la rue m’a interpellée… Entre précarité et expression politique… Que ce soient les murs de Oaxaca, San Cristobal, du DF… ou les cris des vendeurs de rue, du métro, du bus… Obligés de crier pour vendre et de se taire pour s'exprimer...
les expositions que vous auriez pu voir si...
RENCONTRE DE GRAFFEURS AVEC LE COLLECTIF YESC@ DE OAXACA
ET L'ASSOCIATION fAUTE O GRAFF DE TOULOUSE
Les services techniques de la mairie de toulouse ayant donné un avis défavorable à l'occupation de l'espace public pour réaliser ce projet, nous l'annulons et tenterons de vous le proposer l'an prochain... Il faut dire que les gesticulations des gouvernements français et mexicains n'ont rien arrangé.
Pour trouver la place qui revient aux cultures urbaines à toulouse, il nous paraît indispensable que la municipalité pèse de tout son poids.
A l'occasion des Rencontres Cinémas d'Amérique Latine de Toulouse, l'association Faute O Graff organise une rencontre entres des graffeurs toulousains et des graffeurs du Collectif Yesca de Oaxaca. Ce collectif s'est particulièrement impliqué dans les luttes de Oaxaca depuis 2006 avec les armes en leur possession: Le Pouvoir des Aérosols.
Les Cultures Urbaines, dans toutes leurs composantes, commencent à gagner depuis quelques années une certaine reconnaissance, mais restent assez méconnues et continuent à avoir du mal à exister dans la ville. Elles peuvent pourtant être une composante essentielle dans la construction d’un espace urbain et d’une vision de la ville vivante, partagée. Ces Cultures, dans le monde entier, ont des points communs et des spécificités qui permettent des rencontres et des échanges qui ne peuvent qu’être enrichissants pour chacun.
Pour ce projet, nous avons choisi de partir de la base commune de l’art du graff ; cet axe nous paraît particulièrement pertinent dans le cadre d’une collaboration avec le Mexique où le graff puise ses racines dans la grande tradition des « murales » dont Diego Ribera a été le fer de lance.
Ces rencontres urbaines seront fondées sur une réciprocité : 4 artistes mexicains du collectif Yesca de Oaxaca seront accueillis à Toulouse pour une résidence dans le cadre des 23èmes Rencontres Cinémas d’Amérique Latine de Toulouse durant le mois de mars puis 4 artistes toulousains de l’association Faute O Graff seront accueillis en résidence au mois de novembre à Oaxaca dans le cadre du 2ème Festival de film indépendant et de vidéo.
Ce projet a pour objectifs un échange de points de vue, une expérience collective de création entre des artistes français et mexicains et un aller-retour pictural entre Toulouse et Oaxaca.
En partenariat avec Avec le soutient de
Centre Méridional de l'Architecture et de la Ville
5, rue Saint Pantaléon
31 000 Toulouse
du lundi au samedi, de 13h à 19h
Cinéma Insostenible (Cinéma Insoutenable)
Une exposition du Collectif Maski -
Camilo Ordóñez –Jairo Suárez –Juan David Laserna
Nous avons tout essayé pour vous proposer cette exposition, mais les remaniements internes au gouvernement colombien et le manque de moyens de l'Ambassade de France en Colombie ne nous ont pas permis d'obtenir l'aide nécessaire pour faire venir les oeuvres.
Nous vous proposons tout de même cette visite virtuelle.... en attendant l'année prochaine...
Cinéma Insostenible (Cinéma Insoutenable) est l'exposition d'une recherche réalisée depuis 2005 par le collectif d'artistes colombiens Maski. Durant plus de 4 ans, les artistes se sont occupés de l'avenir d'anciennes salles de cinémas dans lesquelles avaient lieu les projections cinématographiques et autres possibilités d'existence. Les particularités, les transformations, et son actualité caractérisent ce lieu social et ce depuis sa structure architecturale jusque sa relation avec différents réseaux sociaux.
Le projet a compris diverses stratégies de recherche documentaire et de travail sur le terrain qui ont fortifié un processus de création, ciblant le problème de la recherche à partir d'actions et des postures qui valorisent l'action créative. Les produits résultant de ces opérations correspondent aux pièces qu'après des exercices de documentation, proposent des questions, des citation et soulèvent des problèmes sur le devenir des anciens salles de cinéma dans la ville de Bogota; lesquelles au 20ème siècle ont vu leur sommet et leur disparition.
Cette recherche a été développée àpartir des arts visuels cherchant a revisiter l'espace du cinéma comme lieu de consommation culturelle, au delà de l'événement de la simple projection. Prévu au départ pour le Musée de Bogotá en 2009, on reconnaît dans cette exposition des détails et des spécificités qui ont enrichis l'expérience esthétique propre au spectacle cinématographique : mobilier, objets originaux, objets décoratifs et en général tout un attirail propre aux théâtres, qu'en leur temps ont fait des salles de cinéma un espace singulier de reconnaissance et de réunion, différents de ces récents projets de commercialisation associés aux centres commerciaux et aux grandes chaînes de distribution ho mogénéisé en multiplex.
De cette manière, dans l'ensemble de l'exposition on peut reconnaître des aspects qui ont fait partie de la machinerie architectural et qui ont caractériséles scènes aménagées pour les projection. Celles-ci furent utilisées comme matériau chargé de sens et de mémoire, des objets tirés de l'oubli aujourd'hui considérées comme ruine d'une époque, pendant laquelle les théâtres jouaient activement dans la construction de communautés et d'associations dans l'espace public, pendant le temps libre.
En un mot, Cinéma Insostenible cherche à examiner l'expérience du spectateur autour du spectacle cinématographique depuis les différentes lectures que peuvent susciter les salles comme objets d'études –architectural ou comme repère urbain –et finalement agent de la mémoire et de consolidation d'un imaginaire particulier.
Le projet de Cinéma Insostenible entre dans la réflexion du festival d'autant plus que la salle de cinéma ABC à Toulouse, s'est vue en danger de disparition en 2006.