Programmation scolaire de mars 2022 à Toulouse et en région

Films programmés à Toulouse et en région en séance scolaire pendant Cinélatino, 34èmes Rencontres de Toulouse :

 

Nouveautés

Reprises 

Les classiques

Courts-métrages

 

 Films projetés en présence d'invité.e.s - sous réserve de confirmation

 

NOUVEAUTÉS

Je m'appelle Bagdad


De Caru Alvez de Souza [Brésil, 2020, 1h38]

De la 2nde à la Terminale
Axes thématiques : portugais, EMC, sports et société, musique

 

Bagdad est une skateuse de 17 ans qui vit à Freguesia do Ó, un quartier populaire de la ville de São Paulo, au Brésil. Elle est entourée de sa famille : ses sœurs, sa mère, sa tante et leurs ami.es. Un réseau de personnages hauts en couleurs qui sortent de l’ordinaire. Bagdad passe la majorité de son temps au skatepark, avec un groupe d’amis presque exclusivement masculin. Lorsque Bagdad rencontre un groupe de skateuses féminines, sa vie change soudainement...

Avec humour et sans mélodrame, ce film aborde des questions de perception de soi et de sens de la communauté pour des jeunes entre l’adolescence et l’âge adulte. Dans les espaces publics monopolisés par le masculin comme les skateparks de São Paulo et de sa périphérie, Bagdad et ses amies s'entraînent et s’entraident. Ensemble, elles ont le courage d’affronter ce qui les dérange. Ce film met le doigt sur des débats de société importants comme la liberté d’être soi, l’identité, la masculinité et les stéréotypes de genre.

Entourée par des figures féminines aux fortes personnalités, Bagdad est en quête d’émancipation et d’expression. Avec son caméscope à la main, elle documente des moments de vie entre le skate, la musique, et le souvenir des personnes qui comptent pour elle. Reflet d’une génération brésilienne qui s’affirme, ce film montre comment notre entourage peut nous aider à nous définir et à grandir.

 

Accompagnements pédagogiques :
Bande annonce de Je m'appelle Bagdad
Dossier de presse
Fiche pédagogique Ciné Junior
Fiche pédagogique e-media
Podcast Slate “Je m’appelle Bagdad : skateparks et cours de récré, des mondes désespérément masculins ?” (12min) 

 

La ciudad de las fieras


de Henry Eduardo Rincón Orozco [Colombie, 2021, 1h33]

De la 3eme à la Terminale
Axes thématiques : espagnol, histoire-géographie, EMC, français

 

Tato, 17 ans, vient de perdre sa mère. Il se retrouve seul avec ses deux amis Pitu et La Crespa dans son quartier des collines de Medellín.  Poursuivi par une bande armée et sous conseil des services sociaux, Tato se réfugie chez son grand-père Octavio, qu’il ne connaît pas encore. Le vieil homme tient une ferme où il cultive des iris. Dépaysement garanti pour l’adolescent qui découvre - tout à la fois - la vie à la campagne et des secrets familiaux…

Dans ce film colombien, la ville est filmée la nuit. Entre scènes de graphs sur les murs et improvisation de rap dans la rue, la bande de jeune cherche à échapper à la violence ambiante.  Rapidement le film se déplace à Santa Elena, dans la campagne environnante de Medellin, et se centre sur les liens intergénérationnels.

On a ici la confrontation de deux mondes : l’urbain, le hip hop, la violence face à la ruralité, la beauté des fleurs et de la montagne. Le film fait des allers-retours entre ces deux univers à l’image du parcours des “dezplazadxs” du conflit armé colombien. Deux mondes, ville et campagne, mais aussi deux générations.  Après un premier contact difficile, Tato et Octavio vont se rapprocher et reconstruire l’histoire familiale en créant du sens. Par une passion commune pour la musique (même si ce n’est pas la même) et les arts plastiques (même s’ils sont différents), les deux hommes retissent des liens par la culture. C’est donc aussi un film sur la quête d’identité et de ses racines mais aussi l’altérité et le syncrétisme. Octavio transmettra son savoir et la tradition des « Silleteros » à Tato qui reprendra le flambeau pour y ajouter sa propre originalité.

Mélange entre Matar a Jesus et Los HongosLa ciudad de las fieras est un film positif et créatif dans un contexte social qui reste sombre.  Ni la vie urbaine ni la campagne ne sont stigmatisées : le réel est là, complexe, jamais binaire, dans un récit de vie, unique et authentique. Sans doute du fait des acteurs non professionnels présents à l’écran. Ce réalisateur fait partie de cette nouvelle génération de cinéastes « paisas », centrés sur les tensions qui traversent la jeunesse de Medellín.

En compétition officielle de Cinélatino 2021, prix CCAS et Rail d’oc

 

Accompagnements pédagogiques :
Bande annonce de La ciudad de las fieras
Dossier pédagogique de l'ARCALT
Entretien avec le réalisateur
Retour d'une professeure d'espagnol sur le film
Article de La Pelicula

 

REPRISES 

 Karnawal


De Juan Pablo Félix  [Argentine, Bolivie, 2020, 1h32]

De la 3ème à la terminale
Axes thématiques : Espagnol – Histoire-géographie – Arts&cultures - Musique

 

« Pendant le carnaval Andin, à la frontière entre l’Argentine et la Bolivie, Cabra un jeune danseur se prépare pour la compétition la plus importante de sa vie lorsque son père, El corto - ancien détenu et voleur de grand chemin - revient et met tout en péril.

Entre thriller et drame familial, ce premier film de Juan Pablo Félix, rythmé par les sons et pas du Malambo (danse traditionnelle argentine), nous plonge de la première séquence à la dernière dans les problématiques et difficultés de l’adolescence, en épousant
parfaitement le point de vue de Cabra.

Le père du garçon (joué par l’acteur chilien Alfredo Castro) les amène - lui et sa mère - dans un mystérieux road trip à travers le décor sauvage de la pampa nord argentine. Ce sera l’occasion de renouer des relations familiales complexes. En effet, Alfredo Castro, personnage séduisant et charismatique, est ce qui redonne le sourire à Cabra – ado taciturne - et à sa mère. El corto est aussi la relation toxique qu’il faudra peut-être fuir pour éviter le pire et poursuivre ses rêves. Le jeune Martin López, qui incarne Cabra et dont la présence magnifique sur scène nous emporte tout au long de l’histoire, trouve alors refuge et exutoire dans la danse.

 

Prix Cinéma en construction Toulouse au festival Cinélatino 2020

 

Accompagnements pédagogiques :
Bande-annonce de Karnawal
Dossier pédagogique de l'ARCALT (en français et en espagnol)
Entretien de Variety avec le réalisateur Juan Pablo Félix
Entretien skype avec le réalisateur Juan Pablo Félix & Edson Sidonie
Analyse d'une professeure d'espagnol sur le film

 

El olvido que seremos


De Fernando Trueba [Colombie, 2020, 2h16]

De la 4ème à la Terminale
Axes thématiques : espagnol, histoire-géographie, sciences politiques, littérature, lien familial, territoire et mémoire

 

Adapté du roman éponyme d’Hector Abad Faciolince, ce film raconte l’histoire du père de l’auteur, Hector Abad Gomez. Médecin et universitaire, il fut un grand défenseur des droits de l’homme en Colombie dans les années 1970 et 1980 et ce, malgré les menaces qui pesaient sur lui.

A travers les yeux admiratifs de son fils, le film nous emmène dans l’intimité de cet homme, incarné par Javier Camara, père de famille et penseur engagé. A la fois léger pour ses touches d’humour et poignant pour l’histoire qu’il raconte, ce film nous parle de l’enfance, de la famille et de la violence d’un pays où il faut parfois défendre ses idées au risque de sa vie. Filmé à Medellin, on replonge à travers les images dans le contexte social et politique de l’époque. Le passé y est dépeint en couleurs alors que le présent, lui, est en noir et blanc, le tout nous faisant voyager avec poésie entre humanité et brutalité.

Le réalisateur, Fernando Trueba, oscarisé pour le meilleur film étranger grâce à Belle époque (1993), s’est emparé de ce récit basé sur des faits réels qui, selon lui, se devait d’être montré à l’écran : « il est fait pour nous toucher si profondément. Il ne laisse personne indifférent car il nous affecte tous. Il doit être raconté et re-raconté. ».

Sélection en compétition officielle du festival de Cannes 2020

 

Accompagnements pédagogiques :
Bande annonce d'El olvido que seremos
Entretien avec le réalisateur Fernando Trueba (en espagnol)
Dossier de presse (en anglais)
Dossier pédagogique (en français)
Dossier Voscope par Vocable (en espagnol)
Article sur l'écriture de la mémoire colombienne

 

Los lobos


De Samuel Kishi  [Mexique, USA, 2019, 1h35]

De la 5e à la Terminale
Axes thématiques : Langues (espagnol - anglais) - Histoire-géographie (mondialisation, immigration, villes transfrontalières) – ECM (solidarité et racisme) – Français (conte) – Arts plastiques (dessin)

 

Max, 8 ans et Leo, 5 ans quittent le Mexique pour les États-Unis avec leur mère Lucia à la recherche d’une meilleure vie. Pendant que leur mère travaille, Max et Leo observent leur nouveau quartier par la fenêtre du petit appartement duquel ils ne peuvent pas sortir. Pour passer le temps, les deux garçons s’accrochent à la promesse de leur mère d’aller un jour à Disney…

Au cœur de la ville transfrontalière d’Albuquerque, Samuel Kishi - le réalisateur de Somos Mari Pepa (2014) - nous offre le récit semi-autobiographique d’une famille d’immigrés qui tente de s’adapter. Entre solidarité et syncrétisme culturel, les deux enfants appréhendent la diversité ethnique de ce nouveau monde, en découvrent ses drôles de coutumes et apprennent l’anglais sur des cassettes que leur mère leur laisse.

L’univers de l’enfance est retranscrit par des passages en cinéma d’animation où les dessins des deux enfants, fruits de leur imagination et espace d’évasion, prennent vie et illustrent leurs jeux de confinement. Plein de tendresse et de bienveillance, la relation entre les deux frères et leur mère en fait un entité forte qui telle une meute affrontera tous les dangers et ira au bout de ses rêves.

 

Accompagnement pédagogiques :
Bande annonce de Los lobos
Dossier pédagogique de l'ARCALT
Dossier pédagogique La Bodega
Fiche pédagogique e-media
Article de presse J:MAG
Entretien avec le réalisateur Samuel Kishi

 

 

LES CLASSIQUES

 

Juliana


De Fernando Espinoza et Alejandro Legaspi [Pérou, 1989, 1h34]

De la 4ème à la Terminale
Axes thématiques : Espagnol - Histoire-géographie – ECM – Français

 

Juliana vit dans un quartier populaire de Lima dans les années 1980. Maltraitée par son beau-père et abandonnée d'une mère aimante mais qui peine à la protéger, l'adolescente est forcée de fuir le domicile familial. Pour survivre à l'extérieur, Juliana se fait passer pour un garçon. Elle intègre une bande d'enfants qui, comme elle, cherchent un foyer et de quoi subsister. Face aux menaces du monde adulte, le clan va rapidement devoir unir ses forces.

A la croisée du néoréalisme italien et du conte merveilleux, Juliana est un film qui vibre au rythme de l'enfance et de ses espoirs. On y retrouve les questionnements de Peter Pan et de ses enfants perdus et les enjeux du collectif de Sa majesté des mouches (Peter Brook, 1963). Sans concession et pourtant plein de douceur, ce film, d'une beauté plastique étonnante, est une ode à l'enfance et à sa résilience.

 

Accompagnements pédagogiques :
Bande annonce de Juliana
Dossier de presse 
Fiche pédagogique en espagnol

Bonne nouvelle ! Accompagnement du film en région par Louise Legal, intervenante en cinéma dans le cadre de rétrovisions en partenariat avec l'Acreamp.

 

 

  RETROSPECTIVE PATRICIO GUZMAN : LA NOSTALGIE DE LA LUMIÈRE - LE BOUTON DE NACRE - LA CORDILLÈRE DES SONGES


De Patricio Guzmán [Chili]

De la 1ère à la Terminale
Axes thématiques : espagnol, histoire-géographie, philosophie, EMC

Amoureux des trilogies, ces dernières années Patricio Guzmán a pris un virage dans sa carrière en entamant un nouveau cycle cinématographique composé de Nostalgie de la lumière  (2010), Le bouton de Nacre (2015), La cordillère des songes (2020).

 

Nostalgie de la lumière est le premier volet de la trilogie et commence au nord du Chili, dans le désert d'Atacama et ses étoiles. On y voit le parcours de femmes qui cherchent les ossements de leurs proches disparus. Cette quête est mise en parallèle avec celle des astronomes dans l'espace. L’aventure se poursuit avec un second film : Le bouton de nacre qui explore le sud, la Patagonie et la mer. La tradition de la pêche et la rudesse des eaux froides sont associées aux années les plus noires du pays. Le voyage se termine au centre du pays, sa capitale Santiago et les Andes, épine dorsale qui isole le Chili du reste du monde dans La Cordillère des songes. La ville, ses manifestations et répressions mais aussi la résistance et les failles du système. 3 films à voir et revoir qui permettent tout à la fois de comprendre l’histoire du pays et son actualité brûlante.

 

Accompagnements pédagogiques :
Bande annonce de Nostalgie de la lumière
Dossier de presse 
Dossier pédagogique et cahier d'activités
Livret d’accompagnement par le dispositif “Lycéens et Apprentis au Cinéma” édité par le CNC

 

Bande annonce du Bouton de Nacre
Dossier de presse 
Dossier pédagogique et cahier d'activités
Article Cineuropa
Entretien vidéo avec Patricio Guzman

 

Bande annonce de La cordillère des songes
Dossier de presse
Dossier pédagogique
Entretien de Patricio Guzman pour France Culture
Entretien de Patricio Guzman en espagnol sous-titré

 

Bonnes nouvelles !

  • Séance du Bouton de nacre lundi 28 mars 2022 à 9h30 à la Cinémathèque de Toulouse en présence de Patricio Guzmán
  • Séances de La cordillère des songes accompagnées d'une médiation par les étudiantes du master Art & Com de l'Université Toulouse II - Jean Jaurès

 

COURTS-MÉTRAGES

 

Petites histoires d'Amérique latine - Volume 4


Niveau 6ème, 5ème
Axes thématiques : espagnol, histoire-géographie, EMC, français, arts plastiques

 

Petites Voyages d’Amérique Latine 4, ce sont quatre courts-métrages pour poursuivre l’exploration du continent.

De las Sierras Chicas en Argentine aux rues de São Paulo en passant par les mangroves colombiennes et la forêt amazonienne,  Quatre histoires personnelles pour découvrir une faune, une flore et des cultures.
À travers le documentaire, le cinéma d’animation et le graph, les arts se mêlent et s’entremêlent au son de la bossa nova brésilienne pour réfléchir ensemble aux luttes sociales et environnementales dans un monde à l’urbanisation croissante…

 

Téléchargez ici le dossier pédagogique des Petites histoire d'Amérique Latine - Volume 4 !

 

DULCE


de Guille Isa et Angello Faccini (Colombie, 2018, 11’, VOSTFR)

 

Dans un village colombien, là où la vie est rythmée par les flots et où les premiers effets de la crise climatique menacent, une mère presse sa fille de 5 ans d’apprendre à nager.

 

Graffiti DANçA


de Rodrigo Eba! (Brésil, 2013, 6’, sans parole)

 

Et si les murs de la ville se mettaient à danser ? Laissez-vous embarquer dans cette rêverie urbaine.
Une prouesse de réalisation en graffs animés.

 

 

 

 

Lea Salvaje


de María Teresa Salcedo Montero (Colombie, 2020, 9’13, VOSTFR)

 

Solitaire et sauvage, le chat Léa découvre les bienfaits de l’entraide et de la vie en communauté au détour d’une rencontre inattendue avec une poupée, Ciro, dont le but est de redonner une vie et une dignité aux objets abandonnés par les humains.

 

 

BOSQUECITO


de Paulina Muratore (Argentine, 2020, 8’16, sans parole)

Mizu, une petite fille, découvre un bourgeon dans la forêt. Dès lors, chacune de ses promenades sera l’occasion de veiller sur lui. Les années passent et ils grandissent ensemble dans un monde fragile et menacé.

 

 

 

Les collégiens programment


Ce projet propose à deux classes de 4e et 5e
des collèges Henri Guillaumet et Jean-Pierre Vernant de devenir programmateurs pour Cinélatino. En amont du festival, plusieurs interventions sont consacrées à visionner des courts-métrages et en parler. Avec l’aide des intervenantes cinéma Mathilde Rebullida et Pauline Lebellenger, l’idée est d’apprendre à mieux lire les images, à construire un point de vue et à exprimer des émotions à leur égard.

 

Comme dans un comité de programmation, les élèves doivent ensuite se mettre d’accord collectivement pour faire leur sélection et élaborer leur programme de courts-métrages. Enfin, pendant le festival, à la
Cinémathèque de Toulouse, leur programmation sera présentée en public le mardi 29 mars et le vendredi 1er avril 2022 à 9h30. Les élèves présentent la séance et animent les échanges avec le public. Nous invitons donc d’autres établissements scolaires à participer à cette séance gratuite.

 

Restitution du collège Henri Guillaumet 


Mardi 29 mars 2022 à 9h30
à la Cinémathèque de Toulouse

RAMON

de Natalia Bernal (Colombie – 7’10 - 2020 - VOSTFR)
Ramon, un petit garçon de 8 ans, est passionné de kickboxing. Après des mois d'entraînements, il va enfin pouvoir participer au championnat national. Cette compétition sera  l’occasion pour lui de découvrir ce qui se cache derrière chaque combat, peu importe la victoire ou la défaite.

 

El galon

de Anabel Rodríguez Ríos (Venezuela - 11' - 2013 - VOSTFR)
​Luis David a une dizaine d’année, il est pêcheur, il a sept frères et sœurs, et habite le Lac Maracaibo, un lieu insolite où les maisons sont sur pilotis et où l’on vit sur l’eau. C’est aussi un endroit où on exploite le pétrole. Et Luis et ses copains ont une manière bien à eux d’utiliser les barrils qui servent à le transporter…

 

Resistencia infantil 

de Javiera Leal Monje (Chile - 15' - 2019 - VOSTFR)
Un groupe de jeunes filles se rassemble dans un champ laissé à l'abandon à côté de leur quartier. Là, les filles organisent des ateliers de rap, jouent à des jeux et se battent de temps en temps, se protégeant constamment contre les dangers de leur environnement...

 

 

En la opera

de Juan Pablo Zaramella - (Argentine - 2010 - 1’)
La magie de l'opéra éveille toutes sortes d'émotions chez le spectateur... Mais pourquoi celui-ci les fait-il tous verser des torrents de larmes ?

 

 

Escalade

de Luciana Eguti et Paulo Muppet (Brésil - 2012 - 2’)
L’histoire d’une île en forme de cube et de ses habitants, autour de la thématique de l’environnement et de la consommation durable dans un milieu naturel.

 

Abuela grillo

de Denis Chapon (Bolivie - 2009 - 13')
​Notre petite Mamie Grillon a un pouvoir magique: lorsqu’elle chante, elle fait tomber la pluie. Pourtant, ce don exceptionnel va lui jouer bien des tours…A travers cette jolie animation, Denis Chapon touche du doigt le combat pour l’accès à l’eau des populations indigènes en Bolivie.

 

 

Restitution du collège Jean Pierre Vernant


Vendredi 01 avril 2022 à 9h30
à la Cinémathèque de Toulouse

El capuli

de Carlos Sosa (Équateur - 2019 - 10'40)
​El Capulí est un homme aux mains énormes qui rêve de devenir coiffeur. Son physique soulève peurs et méfiances de la part des habitants du village… Mais cela lui permettra aussi de révéler de nombreux talents et d’en faire changer plus d’un d’avis.

 

El galon

de de Anabel Rodríguez Ríos (Venezuela - 11' - 2013 - VOSTFR)
Luis David a une dizaine d’année, il est pêcheur, il a sept frères et sœurs, et habite le Lac Maracaibo, un lieu insolite où les maisons sont sur pilotis et où l’on vit sur l’eau. C’est aussi un endroit où on exploite le pétrole. Et Luis et ses copains ont une manière bien à eux d’utiliser les barrils qui servent à le transporter…

 

Abuela grillo

de Denis Chapon (Bolivie - 2009 - 13')
​Notre petite Mamie Grillon a un pouvoir magique: lorsqu’elle chante, elle fait tomber la pluie. Pourtant, ce don exceptionnel va lui jouer bien des tours…A travers cette jolie animation, Denis Chapon touche du doigt le combat pour l’accès à l’eau des populations indigènes en Bolivie.

 

Ramon

de Natalia Bernal (Colombie – 7’10 - 2020 - VOSTFR)
Ramon, un petit garçon de 8 ans, est passionné de kickboxing. Après des mois d'entraînements, il va enfin pouvoir participer au championnat national. Cette compétition sera  l’occasion pour lui de découvrir ce qui se cache derrière chaque combat, peu importe la victoire ou la défaite.

 

Resistencia infantil

de Javiera Leal Monje (Chile - 15' - 2019 - VOSTFR)
Un groupe de jeunes filles se rassemble dans un champ laissé à l'abandon à côté de leur quartier. Là, les filles organisent des ateliers de rap, jouent à des jeux et se battent de temps en temps, se protégeant constamment contre les dangers de leur environnement...

 

Projet mis en œuvre dans le cadre du Parcours Laïque et Citoyen avec le soutien du Conseil Départemental