Cinélatino, Rencontres de Toulouse EN PARTENARIAT AVEC L’IPEAT, LE LABORATOIRE FRAMESPA, LE DÉPARTEMENT D’ÉTUDES HISPANIQUES ET HISPANO-AMÉRICAINES ET LE CINÉMA ABC 
propose dans le cadre de la 6ème édition de la semaine de l'Amérique latine et des Caraïbes 

PRISMES : L’AMÉRIQUE LATINE VUE À TRAVERS LE PRISME DU CINÉMA ET DE LA RECHERCHE

Projection en avant-première de La Bonne Réputation (Las Niñas bien) de Alejandra Marquez Abella et Rencontre avec Stéphane Straub, professeur à la Toulouse School of Economics

Lundi 27 mai à 18h30 au  Cinéma ABC Toulouse*

Immersion dans la passionnante et complexe question des économies latino-américaines : Stéphane Straub, professeur d’économie à la Toulouse School of Economics accompagne la projection de Las niñas bien d'Alejandra Márquez Abella (mention spéciale du jury, Cinélatino 2019). Son expertise nous guide dans l’appréhension du contexte économique dans lequel se déroule le film.

Intervenant : Stéphane Straub

Stéphane Straub est professeur à l'Ecole d'économie de Toulouse. Il travaille sur les questions d'infrastructure, d'achats publics et, plus généralement, de développement institutionnel dans le contexte des pays en développement. En 2016-2017, il était en congé à la Banque mondiale de Washington DC. Il a occupé des postes universitaires aux États-Unis, au Royaume-Uni et en France. Il est consultant pour plusieurs institutions internationales telles que la Banque mondiale, la Banque interaméricaine de développement, l'Union européenne et la Banque asiatique de développement. Auparavant, il a vécu pendant 10 ans au Paraguay, où il a notamment travaillé comme entrepreneur, consultant privé, conseiller du gouvernement et professeur d'Université.

Site de Stéphane Straub

Film

La Bonne Réputation (Las Niñas bien) d'Alejandra Marquez Abella | Mexique, 2018, 1h33 | Prix Spécial du Jury, Cinélatino 2019

Mexique, 1982, la crise économique frappe le pays, le mandat de López Portillo touche à sa fin. Sofía est l'épouse idéale, belle, charmante amphitryonne des fêtes organisées dans sa demeure des beaux quartiers. Elle brille dans son groupe d'amies, au salon de thé ou sur les courts de tennis et plane au-dessus des contingences. Lorsque l'inimaginable survient, le déclassement social et les inconvénients associés, jusqu'où ira-t-elle pour sauver les apparences et conserver la part du gâteau ? Une adaptation du roman éponyme de Guadalupe Loaeza. 
Lire la critique du Polyester