Candelaria de Jhonny Hendrix (Colombie) et Las Herederas de Marcelo Martinessi vont bénéficier d'une bourse à la production.

Du mouvement dans l'équipe d'organisation du festival ...

1952, Eva Perón vient de mourir à 33 ans. Elle est la figure politique la plus aimée et la plus haïe d’Argentine. On charge un spécialiste de l'embaumer. Des années d'effort, une parfaite réussite. Mais les coups d'état se succèdent et certains dictateurs veulent détruire jusqu'au souvenir d'Evita dans la mémoire populaire. Son corps devient l’enjeu des forces qui s’affrontent pendant 25 ans. Durant ce quart de siècle, Evita aura eu plus de pouvoir que n’importe quelle personnalité de son vivant.

Près de 80 cinéastes, producteurs-trices, acteurs-trices, préparateur d'acteurs sont venus de 12 pays différents (Équateur, Brésil, Chili, Colombie, Cuba, Mexique, Argentine, Paraguay, France - dont Guyane française et Martinique -, Venezuela, Uruguay, Guatemala) ; 77 séances ont été suivies d'un débat ; la rencontre entre les instituts européens et latino-américains a réuni 55 personnes. Le public a pu voir 148 films dans 14 lieux différents à Toulouse intramuros, 9 en périphérie, 42 dans la région Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées et 8 en Aquitaine.
260 bénévoles de 17 nationalités différentes (française, espagnole, colombienne, mexicaine, argentine, chilienne, russe, équatorienne, brésilienne, péruvienne, italienne, cubaine, vénézuélienne, bolivienne, nicaraguayenne, belge, suisse) ont fait vivre le festival.

Encore quelques jours pour voir des films "Cinélatino" cette semaine: à Toulouse, Tournefeuille (reprise de films du palmarès), Auzielle, Ramonville et Colomiers: Voir le calendrier.

Samedi 19 mars : Venez assister à la projection de deux films de Marcelo Gomes, suivie d'un pot offert par Cinélatino.

« Comment revenir sur la mémoire des vaincus ? » C’est la question que pose Carmen Castillo, réalisatrice chilienne à fortes convictions.

La présence de six longs-métrages en noir et blanc réalisés en 2015 attire notre attention. Les réalisateurs nous ont donné quelques explications.

Antes o tempo não acabavan, un film de Sérgio Andrade et Fábio Baldo.
Après A Floresta de Jonathas, Sérgio Andrade s’intéresse une nouvelle fois à sa terre natale, l’Amazonie, dans un long-métrage réalisé avec Fábio Baldo.